La Blanche hermine
La Blanche hermine
J'ai rencontré ce matin devant la haie de mon champ
Une troupe de marins, d'ouvriers, de paysans
Où allez-vous camarades avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades viens rejoindre notre armée
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Où allez-vous camarades avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades viens rejoindre notre armée
Ma mie dit que c'est folie d'aller faire la guerre aux Francs
Mais je dis que c'est folie d'être enchaîné plus longtemps
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Ma mie dit que c'est folie d'aller faire la guerre aux Francs
Mais je dis que c'est folie d'être enchaîné plus longtemps
Elle aura bien de la peine pour élever les enfants
Elle aura bien de la peine car je m'en vais pour longtemps
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Elle aura bien de la peine pour élever les enfants
Elle aura bien de la peine car je m'en vais pour longtemps
Je viendrai à la nuit noire tant que la guerre durera
Comme les femmes en noir triste et seule elle m'attendra
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Je viendrai à la nuit noire tant que la guerre durera
Comme les femmes en noir triste et seule elle m'attendra
Et sans doute pense-t-elle que je suis en déraison
De la voir mon cœur se serre là-bas devant la maison
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Et sans doute pense-t-elle que je suis en déraison
De la voir mon cœur se serre là-bas devant la maison
Et si je meurs à la guerre pourra-t-elle me pardonner
D'avoir préféré ma terre à l'amour qu'elle me donnait
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Et si je meurs à la guerre pourra-t-elle me pardonner
D'avoir préféré ma terre à l'amour qu'elle me donnait
J'ai rencontré ce matin devant la haie de mon champ
Une troupe de marins, d'ouvriers, de paysans.
(paroles de la chanson de Gilles Servat)
Une troupe de marins, d'ouvriers, de paysans
Où allez-vous camarades avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades viens rejoindre notre armée
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Où allez-vous camarades avec vos fusils chargés
Nous tendrons des embuscades viens rejoindre notre armée
Ma mie dit que c'est folie d'aller faire la guerre aux Francs
Mais je dis que c'est folie d'être enchaîné plus longtemps
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Ma mie dit que c'est folie d'aller faire la guerre aux Francs
Mais je dis que c'est folie d'être enchaîné plus longtemps
Elle aura bien de la peine pour élever les enfants
Elle aura bien de la peine car je m'en vais pour longtemps
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Elle aura bien de la peine pour élever les enfants
Elle aura bien de la peine car je m'en vais pour longtemps
Je viendrai à la nuit noire tant que la guerre durera
Comme les femmes en noir triste et seule elle m'attendra
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Je viendrai à la nuit noire tant que la guerre durera
Comme les femmes en noir triste et seule elle m'attendra
Et sans doute pense-t-elle que je suis en déraison
De la voir mon cœur se serre là-bas devant la maison
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Et sans doute pense-t-elle que je suis en déraison
De la voir mon cœur se serre là-bas devant la maison
Et si je meurs à la guerre pourra-t-elle me pardonner
D'avoir préféré ma terre à l'amour qu'elle me donnait
La voilà la Blanche Hermine vive la mouette et l'ajonc
La voilà la Blanche Hermine vive Fougères et Clisson
Et si je meurs à la guerre pourra-t-elle me pardonner
D'avoir préféré ma terre à l'amour qu'elle me donnait
J'ai rencontré ce matin devant la haie de mon champ
Une troupe de marins, d'ouvriers, de paysans.
(paroles de la chanson de Gilles Servat)
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